Et maintenant on fait quoi ?

Voilà 1 an que la COVID s’est installée dans nos vies. Voilà 1 an que nous avons dû nous adapter à des confinements, des couvre-feu, des interdictions de rencontrer nos parents, nos enfants, nos amis. Voilà 1 an que nous avons cessé nos loisirs. Voilà 1 an que nous vivons avec des chiffres de mortalité quotidiens, des places en hôpital restreintes. Nous vivons dans le doute, le stress, la peur, la tristesse parfois de perdre nos proches, de changer de vie.
Voilà c’est la vie que nous avons depuis 1 an.
La faute à qui ? Aux gouvernements de ne pas nous aider plus ? Aux médecins de ne pas avoir plus de places en hôpital ? Aux Chinois de ne pas avoir contrôlé ? Au pangolin de ne pas savoir manger autre chose que de la mxxde ?
La faute aux autres … toujours les autres !
Et si nous considérions que les autres, c’est notre environnement et que notre environnement ce n’est pas nous. Nous évoluons dans cet environnement. Nous sommes liés à lui par notre comportement qui affecte nos capacités, touchant nos valeurs, nos croyances, attaquant notre identité pour anéantir notre mission de vie. Si nous n’y prenons pas garde, notre environnement peut anéantir notre mission de vie. Sans mission de vie, nous ne savons plus où allez, comment y aller et quoi faire.

Mais pourquoi ne pas entrevoir la vie différemment et se focaliser sur notre mission de vie ?

Je veux quoi pour moi ?

Je vais dans quelle direction ?

Quel est l’objectif pour dessiner la vie que je veux, une vie épanouissante ?

Cette mission peut alors influencer la personne que je suis, mon identité, qui suis-je ?

Mais aussi qui suis-je avec mes valeurs, mes croyances. Elles sont forces en moi et me donnent la capacité de mener à bien ma vie. Alors mon comportement sera en alignement avec mon être et mon environnement sera impacté et ne sera plus un problème pour moi.

Redéfinissons les priorités de notre vie et alors on se rendra compte que l’environnement ne joue plus dans l’épanouissement de notre vie.


(Inspiré par les niveaux logiques de Robert Dilts)

Retour en haut